Shortcast

Shortcast de nos petit-déjeuners et rencontres thématiques.

En quelques années, Black Lives Matter a réussi à devenir incontournable et imposer non seulement les violences policières mais aussi l’injustice raciale à l’agenda politique, social et médiatique.

Que peut-on apprendre de cette mobilisation historique ? Quels sont leurs succès et quelles limites ce mouvement rencontre ?

« JE (ne) SAIS (pas) TRÈS BIEN FAIRE… » | Comprendre le mécanisme du plafond de verre et oser « s’y croire » !

Nous décryptons un exercice sur notre propre plafond de verre, quelque soit notre milieu, origine et parfois même notre âge…

L’expérience a été menée partout, en France et à l’international et, chaque fois, c’est impressionnant…

Pourquoi le dialogue fait peur ? Pourquoi le confond-on souvent avec « neutralité », « compromis » impossible entre oppresseur.e.s et opprimé.e.s ?

Notre expérience de terrain nous confirme pourtant, ici ou ailleurs, que le dialogue préserve la cohésion sociale, la justice. On va ensemble explorer comment y parvenir… sans renoncer à affirmer ses vérités tout en étant prêt à écouter l’autre.

Le 27 janvier est une des nombreuses dates de commémorations de la Shoah, en France et dans le monde. Encore une ? N’en fait-on pas un peu trop ? Pourquoi faut-il encore commémorer la Shoah ? Comment ? Et d’abord, que commémore-t-on exactement ce jour-là ?

À l’heure des replis identitaires, nous constatons que l’Histoire peut rassembler ou diviser, et nous croyons plus que jamais nécessaire et possible de remplacer la concurrence des mémoires par la convergence des mémoires.

En 1994, le génocide des Tutsi au Rwanda, dernier du XXe siècle, a été orchestré par le parti au pouvoir de l’époque et a fait plus de 800 000 victimes. En l‘espace de 3 mois.

Les mots ont fait partie de cette machine exterminatrice. Tout comme ils servent aujourd’hui aux négationnistes à ré-écrire l’histoire.

Faut-il être diplômé.e ou expert.e pour contre-argumenter une parole intolérante ? L’éducation populaire nous a appris que chacun et chacune, dans notre société, peut développer son savoir hors des bancs de l’école (surtout si on a détesté ça !)

Inspirées de ce principe, toutes nos actions outillent les gens à mesurer qu’en fait, ils sont… déjà outillés. Pour décrypter les enjeux de notre pays, proposer des réponses. Et savoir défendre le vivre ensemble. Et ça marche !